Des fonds publics et privés à utiliser pour une résilience plutot qu’une bétonisation

Des fonds publics et privés à utiliser pour une résilience plutot qu'une bétonisation

A l'heure où l'artificialisation des sols contribue au réchauffement à la perte de biodiversité A l'heure où les finances publiques et les politiques indiquent la fin de l'abondance A l'heure où la réhabilitation de l'existant permet de ne pas laisser des verrues urbaines : que va devenir le stade paillade réhabilité et aggrandi pour le mondial 98 ? Alors qu'elle opportunité d'aller dépenser 180 M€ au lie de les réinjecter dans de la réhabilitation de logement, du déploiement d'énergies vertes, des transports economes en energie, de l'agriculture locale pour redonner du pouvoir d'achat. Ne serait ce pas plus utile? Ne serait il pas plus pertinent de restituer ces espaces à la ville, aux habitats avec des parcs et jardins, vergers et potagers, tels qu'ils existaient encore il y a quelques années sous le beton des berges du lez. La population n'a telle pas besoins de lieux de rencontre et de création que de lieux betonés. Comment ne pas comprendre que cette croissance n'est pas sans fin et qu'il est temps de changer de modele pour des projets plus vertueux.